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Nôen Kagerô [ Loading : 40 % ]

Sujet: Nôen Kagerô [ Loading : 40 % ]   Mar 25 Aoû - 17:50
Invité
Invité
Anonymous
Nom :
Kagerô

Prénom :
Nôen

Surnom :

Âge :
20 ans

Sexe :
Masculin

Orientation sexuelle :
Hétérosexuel

Physique :

Caractère :

Histoire :
Nôen Kagerô  [ Loading : 40 % ] Noenhis
Le 23 Mai 1997 (et on se fiche bien de l'heure qu'il est.) :
    Intérêt de ce journal : zéro. Ce genre de chose c’est pour les gens introvertis, ceux qui préfèrent se confier à un cahier. Cahier qui ne pourra d’ailleurs jamais comprendre tout ce qu’ils ont sur le cœur, cahier qui ne répètera rien à moins qu’il ne soit lus par des curieux dénués d’intelligence. Quoiqu’il en soit, je suis bien et je me sens bien. Pas besoin de cracher sur le dos des gens par l’intermédiaire d’un vulgaire calepin. J’ai mis un certain temps avant d’écrire ne serait-ce qu’un mot sur cette page blanche. Ce qui m’a décidé ? C’est de voir Akumu et Kuraï le faire avec autant d’entrain. Ça m’a étonnait de la part d’Akumu d’ailleurs. Il est rare de le voir comme cela. Pour Kuraï, dans le fond, ça ne m’a guère surpris. On ne sait pas vraiment ce qu’elle pense ni ce qu’elle ressent vis-à-vis de ce qu’elle a vécu avant son arrivée à l’orphelinat. Donc se confier quelque part doit la soulager d’un sens.
    Maintenant que je suis parti à écrire une tonne de débilités ici, autant présenter l’auteur de ce torchon.

    Nôen Kagerô, drôle de prénom. Je ne sais même pas si c’est mes parents qui m’ont nommé ainsi. À vrai dire, je n’ai jamais connu mes parents. Je ne connais ni leur nom, ni leur visage. C’est comme si j’en avait jamais eu… mais je suis bien venu de quelque part, non ? J’envie Kuraï, certes son histoire à l’air d’être triste mais elle ne sait pas la chance qu’elle a eut. Ses parents, elle les a vu au moins une fois. Non, en y repensant, c’est mieux de ne pas savoir comment ils étaient. Ça m’évite des regrets, il faut que je pense comme ça. Je peux les imaginer comme… M’ouais.
    Ma date de naissance réelle est inconnue de tous. Les sœurs de l’orphelinat on fait une estimation et l’ont évaluaient au 08 Juin 1989. Ça reste approximatif…
    J’ai deux amis et une dizaine d’amoureuses. Je suis populaire, je n’y peux rien. C’est dans mes gènes si ça se trouve, j’ai hérité ça de mes parents. Passons, venons-en au principal : mes amis. Les meilleurs.
    Un garçon qui est mon inverse, Akumu. Je le connais depuis toujours, on a toujours était ensemble. Notre rencontre à été toute bête, les sœurs de l’orphelinat avaient organisés un jeu et on s’est retrouvé ensemble. Un duo assez loufoque. Il ne parlait pas, je comblais les vide en parlant pour deux. Il avait un regard froid, animal et empreint de mélancolie. J’ai réussi à le dérider et au lieu de le laisser dans la solitude, je l’ai plus lâché. Depuis il me supporte 7 jours sur 7 et 14h sur 24. Oui, le reste du temps je dors (je me sens obligé de préciser que lui aussi).
    Mon autre ami est une demoiselle. Elle a débarqué à l’orphelinat bien plus tard. Je l’ai repéré dès la première fois mais son attitude laissait entendre qu’elle ne souhaitait pas qu’on l’approche, j’avais donc gardé mes distances. Un jour, alors que nous allions tous manger, j’ai vu Kuraï se faire pousser par un plus grand. Elle est partit sans réagir et j’ai vu l’autre la suivre. Quand Akumu a vu que je n’avançais pas dans la file, il est revenu à mon niveau et a regardé l’endroit que je toisais. Je suis sorti également, suivi de mon ami. Je me suis appuyé contre le mur et ait croisé les bras, attendant qu’il se passe quelque chose. Quand l’autre fit preuve de violence une nouvelle fois, Akumu s’est interposé et je me suis approché de la fille. Au départ, je pensais qu’elle allait s’enfuir mais à ma grande surprise, elle m’a sauté dans les bras. Depuis, Akumu et moi sommes ses anges gardiens.

    Il est l’heure d’aller dîner, je dois y aller. Bon, aujourd’hui j’y vais à reculons. J’ai vu le menu et je n’aime pas la plupart des plats. Pas grave, on ira fouiller dans la réserve plus tard dans la soirée. Comme à notre habitude, chaque fois que c’est dégueulasse au réfectoire…


Le 16 Août 1997 :
    Tic, Tac, Tic, Tac …
    Ce bruit m’énerve et m’empêche de dormir. Pourtant je devrais y être habitué, depuis le temps que je suis dans cette chambre. Mais, ce soir, ça me démange, j’ai envie de fondre dessus et de lui extirper les piles qui la font fonctionner. Mais je doute que ça plaise à mon camarade de chambre. L’horloge que lui avait confié sa grand-mère avant de mourir. Quelle chance, il a un souvenir de sa famille. C’est peut-être cela qui m’énerve au fond. Je suis terrible, pas aussi gentil et bien comme le pense Kuraï et Akumu. La jalousie me bouffe, je ne suis qu’un hypocrite. D’ailleurs, la directrice m’a fait clairement comprendre qu’elle avait vu clair dans mon jeu. Selon elle, devant mes amis je suis adorable et souriant alors que seul, je suis détestable et rongé par le mal. Je ne veux pas être comme ça. Et c’est pour cette raison que je décide de prendre une résolution : être plus honnête et arrêté d’envier les autres.
    Osu ! Je ferai en sorte de changer ce mauvais coté de ma personnalité. Je ne veux pas blesser mes amis, ils me sont chers. Ce sont ma seule famille.

    Après cette prise de conscience, passons au planning de demain. Il y a peu, j’ai découvert un endroit génial. Il est calme, isolé et des chevaux se trouvent pas loin. Je pense que ça leur plaira et dans le cas contraire, tant pis, ça sera pareil. J’espère qu’il ne va pas pleuvoir parce que je ne nous vois pas ramper dans la boue. Enfin, sur ça, on est paré. Chaque fois que j’envisage de faire quelque chose, le beau temps n’est pas au rendez-vous. La dernière fois on s’est retrouvé dans les bois par temps orageux. Kuraï pleurait et Akumu répétait sans cesse qu’on allait tous mourir électrocuté. J’avais oublié que c’était déconseillé de se mettre sous des arbres quand il y avait du tonnerre. Qu’importe, ils n’ont pas apprécié des masses. Cependant ils m’ont vite pardonné car je leur avait fourni mon plus beau sourire plein d’excuses. Malheureusement, ça fonctionne à tous les coups. ^^


    Le 26 Décembre 1997 :

    Un noël de plus vient de passer, nous avons eu le droit à notre cadeau sous le sapin en nous réveillant hier matin. Les sœurs se démènent pour notre bien être et veulent nous faire plaisir avec des présents mais la pilule ne passe pas et ne passera jamais. Ces cadeaux ne viennent pas de nos véritables parents, ils ont était choisi un peu au hasard. Je ne leur en veux pas bien entendu, je trouve ça triste. Le seul cadeau qui me fait plaisir, c’est que mes deux amis soient toujours près de moi. Mine de rien nous avons de la chance, nous n’avons pas été séparés et cette pensée me donne du baume au cœur.
    Aujourd’hui je suis sorti à l’extérieur, il avait neigé durant la nuit et une fine pellicule blanche recouvrait le sol. Je me suis assis sur la balançoire et suis resté ainsi quelques minutes à contempler le paysage. Puis j’ai entendu une voix familière m’appeler avec une once d’inquiétude. Je me suis retourné et j’ai aperçu Kuraï suivie d’Akumu. Je leur ai directement sourie et Kuraï s’est mise à courir vers moi. Akumu, en papa poule, a voulu avertir Kuraï qu’elle pourrait glisser et se faire mal. Mais l’ironie du sort c’est que c’est lui qui s’est viandé. Je n’ai pas pu m’empêcher de rigoler, on a eu un sacré fou rire avec Kuraï. Tellement que ça a vexé Akumu et qu’il s’est mis à bouder. On a du supporter sa tête de renfrogné pendant toute la soirée.
    Enfin bref passons, si il continu de neiger cette nuit et que ça tient, je me ferais un plaisir de lancer une bataille de boule de neige demain afin de dérider tous mes camarades.


    Le 20 Mars 1998 :

    Mon dieu si j'avais su que les choses changeraient et qu'elles prendraient ce tournant... Comme quoi la vie nous réserve de belles surprises parfois. Je pense que je peux dire que je n'ai jamais été aussi heureux, mon plus grand rêve s'est réalisé. Depuis le 27 Janvier je fais parti d'une famille ! Mes parents ainsi que ma nouvelle demeure sont un peu étrange mais je ne suis pas très regardant là-dessus. Je suis totalement comblé et comme tout cela n'était pas suffisant, Kuraï et Akumu sont désormais mes frères et sœurs. J'ai du mal à les considérer en tant que tel, après tout je les ai toujours vu comme étant mes meilleurs amis et non pas comme des membres de ma famille. Quoiqu'il en soit, j'ai pris des résolutions et je ferais tout pour que ma famille nage dans le bonheur.

    Je vais revenir sur mes premières impressions. Lors de la visite du château en janvier dernier, je sentais que quelque chose allait changer radicalement. Nous avions rencontré les hôtes du Château et donc nos futurs parents. Madame Kurokawa avait l‘air chaleureuse et pleine d‘amour. Tandis que son mari était plus en retrait, il observait en silence. J‘ai tout de suite remarqué que Kuraï l‘intéressait et quand il a voulu l‘approcher, notre Akumu s‘est interposé. J‘avoue que si j‘avais été plus proche d‘elle, j‘en aurais fait de même. Je me suis juste contenté d‘avancer, mains derrière le dos, et de sourire. Je le savais, tout allait changer ce jour là.


    Le 15 Février 2000 :

    L’histoire du château est intrigante. Je dis ça parce que Keigo nous en parle souvent, j’aime bien l’entendre raconter des histoires. Il a une façon de les narrer et puis… bref je l’adore, même si il se montre très exigeant quand il s’agit de notre éducation. D’ailleurs en parlant de ça, l’attitude d’Akumu m’énerve et m’exaspère au plus au point. Il nous fait quoi lui ? Sa crise d’adolescence ? Il n’est jamais content pourtant il devrait l’être. Des personnes lui ont offert une nouvelle vie, un endroit où loger et ils lui apprennent plein de choses intéressantes. Dans tous les cas moi je révise et bois les paroles de Keigo. Je veux vraiment lui montrer de quoi je suis capable. Je veux voir de la fierté dans ses yeux quand il parle de moi.
    Sinon hier c’était la Saint Valentin et je suis terriblement déçu ! Je n’ai pas eu de chocolats comme d‘habitude depuis maintenant 2 ans. En même temps au château je n’ai plus aucun contact avec l’extérieur donc ça devient difficile d’être populaire auprès des filles. Il y a bien des filles de passage au château mais elles sont beaucoup trop âgées pour moi. Et je ne compte pas sur Kuraï pour m’en offrir, maintenant que nous sommes frères et sœurs, ça ferait étrange. Ahhh je me souviens de quand j’étais à l’orphelinat, les filles se battaient pour m’offrir leur chocolat. Je les prenais tous et les mangeais tous. Après tout elles y avaient mis tout leur cœur en les confectionnant et je ne pouvais pas passer à côté de leur sentiments. Je finissais toujours par une crise de foie par contre. En y repensant, j’étais beaucoup plus populaire qu’Akumu. En même temps avec son comportement….. Les filles en avaient peur. Bien fait pour lui, que sa popularité reste à zéro.


    Le 30 Août 2005 :

    Je n’avais plus de raisons d’écrire dans ce journal ces dernières années, c’est pourquoi je l’avais complètement laissé de côté. Ma vie était géniale et je ne me sentais pas obligé d’écrire des lignes dans ce journal. Mais j’ai décidé de le reprendre, je suis triste et j’ai besoin de mettre des mots sur ma douleur. Paraître bien alors que tout va mal, qu’au fond on est au bout du rouleau, c’est dur. Bien trop difficile quand cet exercice (ce contrôle de soi) n’est pas à notre porté. Ça ne colle pas avec mon véritable tempérament. Mes propos sont un peu confus, je ne sais pas trop ce qui m’arrive. La mort de mon père m’a …. bouleversé ? Oui c’est le mot. Mais je dois rester fort pour Natsumi, qui va la réconforter à part moi ? Kuraï ? Akumu ? Bien sur que non….
    En ce moment je ressens le besoin de m’isoler alors le soir je quitte le château et vais m’asseoir sur un des bancs de la roseraie. Je regarde le soleil se coucher lentement, je ne pense alors plus à rien et je suis un temps soit peu serein. Mais dès que je remets un pied dans le château, la mélancolie revient me hanter. J’ai croisé Kuraï sur le chemin qui mène à ma chambre hier. On s’est juste échangé un regard, même pas un mot puis je suis rentré dans ma chambre, je l’ai fermée à clefs et me suis roulé en boule sur mon lit. Je me sens si seul …


    Le 5 Septembre 2005 :

    J’accumule les conneries, j’ai comme perdu mes repères. Le deuil va être long mais je ne dois pas me laisser aller. Moi qui voulait être la fierté de Keigo, j’en suis bien loin. Pour le moment je ne suis qu’un pleurnichard qui se laisse abattre. Tout le monde meurt un jour ou l’autre, faut l’accepter et le plus vite ce sera fait et mieux ce sera. Surtout que Keigo nous a confier une tâche noble, on a un héritage merveilleux. Aider des personnes ce n’est pas rien et c’est en mémoire de mon père que j’accomplirais mon rôle d’hôte sérieusement. C’est pourquoi j’ai décidé de reprendre du poil de la bête.


    Le 13 Novembre 2005 :

    Aujourd’hui une personne a été libérée, je m’étais occupé d’elle et l’avais écouté. Ça me fait plaisir de voir que mon implication au travail porte ses fruits. Si seulement mes amis pouvaient réagir et penser comme moi. Je reprend souvent Akumu, sa manière nonchalante m’énerve un peu. Rien que pour ça on s’est pris la tête et il m’a hurlé dessus. «  Tu n’es pas Keigo alors arrête de t’y croire. » Ce n’est pas grave, je passe outre. Je ne lui en veux pas, il est un peu sur les nerfs en ce moment et puis c’est son caractère. Ce n’est que passager et on redeviendra inséparable comme à l’époque de l’orphelinat. Il faudrait d’ailleurs que j’organise quelque chose pour que Kuraï, Akumu et moi passions du bon temps. Oui comme dans le temps … Je vais réfléchir à ça.


    Le 14 Décembre 2005 :

    Un inconnu arrive et il aurait le pouvoir de retourner le cerveau…
    Alors comme ça je serais jaloux ? C’est bien ça Akumu ? Si c’est-ce qu’il pense alors d’accord. Mais jaloux de quoi, de qui ? De ce Yusuke ? Cet être qui n’a pas une once d’intelligence et qui dévie des gens biens du droit chemin ? Certainement pas. Si s’inquiéter pour un ami est vu comme de la jalousie… alors ça veut dire que je n’ai jamais rien compris à la vie. Qu’est-ce qu’il y a de mal à vouloir aider… Akumu, tu n’es peut être pas comme tous ces idiots qui se retrouvent au château comme tu dis mais en te disant ce que je pensais, je ne faisais pas mon travail d’hôte mais plutôt mon travail de meilleur ami.
    Ça se dégrade et pourtant j’ai fais des efforts. J’avais proposé de passer une soirée ensemble au coin du feu il y a une semaine. Il me semblait qu’on avait bien parlé tous les trois. Ce devait être une illusion ou on est redevenu le trio infernal l’espace d’un soir. Ça me manque tellement cette complicité.

    Le 23 Juin 2006 :

    Finalement ce château est une malédiction, son unique but étant de briser une amitié de façon lente. Et si je suis enfermé ici c’est parce que j’étais potentiellement dangereux. Ça veut dire quoi ça ? C’est en restant ici justement que je suis dangereux, je blesse mes amis. « Il » me détruit. Moi qui pensait avoir remonter la pente, je me rend compte que je n’en suis qu’au début. C’est de sa faute si je deviens comme ça et comme je sais qu’ils m’observent, je m’oblige à tout faire bien. J’ai perdu un ami et ça me brise. Je ne peux même pas en discuter avec Kuraï, ça servirait à quoi ? Elle est bien plus proche d’Akumu. Je l’ai bien remarqué, il n’y a que lui à ses yeux. Je ne suis pas dupe. Elle est toujours là pour lui, toujours derrière lui. Je n’existe plus pour eux. Alors c’est comme ça ? C’est la fin ?


    Le 10 Juillet 2006 :

    J’ai appris par hasard qu’Akumu était tombé malade. Je dois être le dernier au courant dans ce château mais je ne m’en fais pas, je sais que Kuraï est auprès de lui donc inutile de me déplacer. Je sais qu’il est entre de bonnes mains et il doit largement préférer la présence d’une femme plutôt que de la mienne. Même si j’avoue que ça me démange, j’ai envie d’y aller et de prendre de ses nouvelles. Mais comme c’est pas l’entente parfaite en ce moment, je me retiens. Je n’ai pas envie qu’il m’envoie bouler.
    Cette nuit je n’ai pas réussi à dormir, je tournais en rond dans mon lit donc j’ai décidé d’aller faire un tour. Je suis aller à la bibliothèque pour prendre un livre et je me suis installé à une table. Comme chaque fois j’ai étendu des murmures alors que j’étais seul. J’y suis habitué mais un frisson me parcourt à chaque fois, je ne le dis pas mais ça me fou les jetons. Mes pensionnaires se plaignent souvent à cause de ça mais je n’y peux rien, je ne peux pas y remédier. Mais cette fois j’ai eu envie de découvrir d’où ils provenaient exactement. Je me suis a coller mes oreilles aux murs, je tapais de temps à autre pour trouver je ne sais quoi. Chose vaine, je me suis rendu ridicule devant une jeune demoiselle. On s’est mis à rire tous les deux et on est resté à parler toute la nuit ensemble.


    Le 18 Juillet 2006 :

    Finalement je l’aime ce château ! ^^ La vie est vraiment imprévisible, si j’avais su qu’Akumu viendrait de son plein grès me parler et me présenter des excuses ! C’est incroyable, j’en suis resté abasourdi. Un soir alors que j’étais dans le salon, il est venu me voir et m’a demander si on pouvait parler. Naturellement j’ai accepté et quand il m’a prononcé la phrase magique, j’ai eu un bug. Il m’a même demandé si j’avais entendu puisque je ne réagissais pas. On a finit par s’expliquer et on s’est réconcilié. On réagit vraiment comme des gamins parfois, briser une amitié si forte pour des broutilles c’est puéril.
    Autre bonne nouvelle, Kuraï nous a fait un gâteau pour fêter ça. C’est une bonne cuisinière, j’ai apprécié et j’espère qu’elle nous en fera plein d’autre.



Liens avec les autres persos: Akumu et Kuraï sont ses amis d'enfance mais aussi ses frères et soeurs.


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